En pleine canicule et une fois de plus, 10 000 poulets sont morts dans un élevage intensif de l’Allier (quand ce ne sont pas les incendies ou les maladies (grippe aviaire, etc), c’est la canicule, mais les histoires se suivent et se ressemblent).
Les volailles sont mortes étouffées par la chaleur dans un hangar, et ce malgré les efforts des éleveurs qui ont essayé de les sauver en arrosant les toits, en ouvrant les fenêtres, et en prévenant les autorités.
Le quotidien La montagne poursuit en précisant que "le couple possède un autre poulailler de 25 000 bêtes dans un autre hangar équipé d’un brumisateur". Ben oui, ce genre de tragédie est amené à se perpétuer tant qu’on appliquera des pansements sur des plaies : la solution n’est pas d’arroser les toits ou d’installer des brumisateurs, mais d’abandonner ces élevages ignobles qui nient aux animaux leurs besoins élémentaires et ne respectent pas l’environnement.