"En Avril 2001, un vétérinaire contrôle les conditions d’abattage et inspecte les carcasses dans un abattoir industriel rennais. Il constate que l’employé chargé de l’assommage des animaux n’y va pas de main morte. "Il frappait violemment sur la tête et les yeux de l’animal" d’après le rapport du vétérinaire. L’employé s’était défendu en affirmant qu’il travaillait selon la technique qu’on lui avait enseignée. Pour le substitut du procureur, son attitude est contraire au décret de 1997, lequel précise qu’il est interdit de porter des coups violents sur les parties sensibles comme l’œil et la tête de l’animal. L’ancien employé a été condamné à 8 jours de prison avec sursis et à une amende de 200 euros". (Ouest-France, 07/02/02)
Et les coups violents sur les parties "non-sensibles", ils sont autorisés eux ?
Méthodes courantes